Palmarès des Machins 2020https://encinemascope.be/wp-content/uploads/2020/01/Une-des-deux-Miss-Machins-Anne-Coesens-et-Olivier-Masset-Depasse.jpg959640Jean-Philippe ThiriartJean-Philippe Thiriarthttps://secure.gravatar.com/avatar/c1e52182d388231644a2b054c89f7957cca0b17f0ba141922338c3e805f85229?s=96&d=mm&r=g
Bérengère Mc Neese – une des deux Miss Machins -, Anne Coesens et son réalisateur de mari Olivier Masset-Depasse
La bande des joyeux organisateurs 9e Machins, les petits prix du cinéma belge, ont décerné leurs moules tant convoitées vendredi dernier au QUAY 01. Les Machins ? C’est frais… c’est décalé !
Machin
de la Crise d’Ado : Fantine Harduin dans Adoration
Machin
de la Mobilité douce : La bicyclette dans Emma Peeters
Machin
de la Cascade (hors champ s’il vous plaît !) : Le Jeune Ahmed
de Jean-Pierre et Luc Dardenne
Machin Brico Plan-it (si si !) : Escapada
de Sarah Hirtt, et
l’immanquable Love Machin du roulage de pelle :
la pelle dans Sous le cartilage les côtes.
Interviews express de Vincent Tavier et Manu Dacosse aux Magritte du cinémahttps://encinemascope.be/wp-content/uploads/2020/01/Alléluia-02.jpg804534Jean-Philippe ThiriartJean-Philippe Thiriarthttps://secure.gravatar.com/avatar/c1e52182d388231644a2b054c89f7957cca0b17f0ba141922338c3e805f85229?s=96&d=mm&r=g
Vincent
Tavier, comment s’est passée la sortie de Alléluia dans les salles
belges ?
Il
sera de plus en plus difficile de distribuer ce genre de films. Mais on peut
qualifier le film de succès si l’on pense à sa présence, aux prix qu’il a
remportés en festivals et à la reconnaissance que lui a témoignée la
profession. (NdA : Alléluia a notamment été sélectionné à la
Quinzaine des Réalisateurs cannoise et a remporté, entre autres récompenses,
quatre prix à Austin et le Méliès d’Or du Meilleur film fantastique européen,
remis par la European
Fantastic Film Festivals Federation, dont le BIFFF fait partie.) J’avais dit à Fabrice de ne pas
s’attendre à un miracle en salles. Du coup, on fait les films qu’on a envie de
faire et comme on a envie de les faire.
Manu
Dacosse, trois raisons pour lesquelles il faut aller voir Alléluia ?
Parce que c’est vraiment du cinéma. Parce qu’on ne sort pas indemne du film. Et parce que c’est un film très fort sur l’amour et ses dérives.
Propos recueillis par Jean-Philippe Thiriart
Crédit photo : Simon Van Cauteren pour En Cinémascope