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Les Magritte du Cinéma 2020 vus par 22 acteurs du cinéma belge et personnalités

Les Magritte du Cinéma 2020 vus par 22 acteurs du cinéma belge et personnalités 1920 1080 Jean-Philippe Thiriart

Vingt-deux acteurs du cinéma belge et personnalités de notre pays vous confient ce que l’édition 2020 des Magritte du Cinéma représente à leurs yeux.

Nous vous proposons autant d’interviews express aux 10e Magritte du Cinéma.

Nous avons ainsi rencontré :
– Vincent Patar (La Foire agricole),
– Khadja Nin (remettante),
– Laurence Bibot et Marka (remettante et chanteur de plusieurs chansons de Duelles),
– Joëlle Scoriels,
– Pascal Duquenne (président des Magritte 2020),
– Antoine Wielemans et Lucie Debay,
– Yolande Moreau (Cleo de Eva Cools),
– Jacques-Henri Bronckart (producteur de Duelles)
– Olivier Masset-Depasse et Jules Lefebvre (réalisateur et acteur de Duelles),
– Bérangère McNeese (Matriochkas),
– Julie Naas et Laurent Micheli (monteuse et réalisateur de Lola vers la mer),
– Baloji et Bebel Baloji (Binti de Frederike Migom),
– Alice on the Roof,
– Luc et Jean-Pierre Dardenne (Le Jeune Ahmed),
– César Díaz (Nuestras Madres), et
– Ophélie Fontana !

Bon visionnage !

Jean-Philippe Thiriart

Crédit vidéo : Gerardo Marra et Jean-Philippe Thiriart
Crédit photo : Rick McPie

Dix ans de Magritte du Cinéma ? Ils vous disent tout !

Dix ans de Magritte du Cinéma ? Ils vous disent tout ! 1920 1080 Jean-Philippe Thiriart

Nous vous proposons 15 interviews express aux 10e Magritte du Cinéma. L’occasion pour nos interlocuteurs de nous confier ce que 10 ans de Magritte du Cinéma représente à leurs yeux. Nous avons ainsi rencontré :
– Vincent Patar,
– Khadja Nin,
– Joëlle Scoriels,
– Antoine Wielemans,
– Lucie Debay,
– Wim Willaert,
– François Troukens,
– Yolande Moreau,
– Éric Godon,
– Olivier Masset-Depasse,
– Jules Lefebvre,
– Jean-Jacques Rausin,
– Cathy Immelen,
– Bernard Yerlès, et
– Salomé Richard !

Bon visionnage !

Jean-Philippe Thiriart

Crédit vidéo : Gerardo Marra et Jean-Philippe Thiriart
Crédit photo : Rick McPie

Interviews de Monica Bellucci : Magritte d’honneur 2020

Interviews de Monica Bellucci : Magritte d’honneur 2020 2560 1704 Jean-Philippe Thiriart

Nous vous proposons de revenir sur la 10e édition des Magritte du Cinéma.

Quoi de mieux pour démarrer notre couverture vidéo de l’événement que deux interviews de Monica Bellucci ?

La plus française des actrices italiennes a vu son travail salué d’un Magritte d’honneur lors de l’édition 2020 de ce que d’aucuns définissent comme les Oscar à la belge, la touche surréaliste en plus !

Nous avons rencontré Monica Bellucci avant et après la remise de cette récompense au Square, à Bruxelles.

Bon visionnage !

Jean-Philippe Thiriart

Crédit vidéo : Gerardo Marra et Jean-Philippe Thiriart
Crédit photo : Rick McPie

BIRDS OF PREY : Vous reprendrez bien un peu de Suicide Squad !

BIRDS OF PREY : Vous reprendrez bien un peu de Suicide Squad ! 1180 1600 Jean-Philippe Thiriart

Réalisé par Cathy Yan
Avec Margot Robbie, Ewan McGregor, Rosie Perez, Jurnee Smollett-Bell

Action, aventure DC
1h49
Interdit aux moins de 12 ans

★★

Birds of Prey (And the Fantabulous Emancipation of One Harley Quinn) (Birds of Prey (et la Fantabuleuse Histoire d’Harley Quinn)) met en scène le personnage d’Harley Quinn, l’ex-petite amie du Joker. Un « blockbuster divertissement » dans l’univers établi par Suicide Squad et qui s’écarte de l’approche intimiste du Joker de Todd Phillips.

L’histoire ? Celle de quatre femmes : Harley Quinn, fraichement séparée du Joker ; The Huntress, meurtrière dont les motivations sont mystérieuses ; Black Canary, chanteuse au night-club appartenant au Black Mask ; et Renee Montoya, flic en manque de reconnaissance. Elles vont s’associer pour endiguer les manigances de Roman Simonis alias The Black Mask.

Le film s’inscrit dans un genre action décomplexée, voire fun. Et ce même si quelques scènes peuvent choquer un public sensible, raison pour laquelle le film est classé « R » (interdit aux moins de 17 ans non accompagnés) par la Motion Picture Association of America. Il s’agit du premier film de l’univers cinématographique DC à avoir cette classification. Birds of Prey se rapproche de la marque de fabrique de Marvel : une conjugaison de violence et d’humour. Bien loin de ce que proposait Watchmen ou encore les Batman de Christopher Nolan. Le but est de respecter l’esprit originel de Suicide Squad. Dans l’ensemble, la sauce prend plutôt bien, mieux encore que chez son prédécesseur. Soulignons néanmoins que certaines scènes frisent le ridicule et l’irréalisme.

Margot Robbie (Once Upon a Time… in Hollywood) incarne une Harley Quinn détruite par sa séparation avec le Joker. Celle-ci cherche à s’émanciper de leur passé commun. Contrairement au jeu dans les autres adaptations, Margot Robbie opte pour une interprétation plus sage et moins hystérique. Quant aux autres acteurs, Ils s’inscrivent dans les standards de ce type de production, sans éviter quelques lourdeurs. À l’exception d’Ewan McGregor (Trainspotting), qui incarne un Black Mask tout à fait convaincant.

Le scénario, certes plaisant et dynamique, traduit quelques confusions que la narratrice, Harley Quinn, ne parvient pas à combler dans son récit.
Côté mise en scène, peu de surprises : efficace et sans bavure, et répondant aux attentes. La réalisatrice accentue la puissance des scènes d’action en recourant à des ralentis bien maitrisés. Niveau colorimétrie et jeux de lumière, le film s’inscrit dans un champ chromatique relativement électrique focalisé sur le rose et le vert pour représenter Harley Quinn.
La bande-son pop/RnB/trap rend les scènes encore plus énergiques. L’univers sonore, accrocheur et vivant, mérite sans conteste une vision en Atmos.

En conclusion, le film se révèle être un bon divertissement hollywoodien. Nous regrettons cependant un scénario sans grande subtilité et manichéen, qui s’inscrit, il faut bien l’admettre dans l’air du temps.

Maxence Debroux, avec la participation de Jean-Philippe Thiriart

Nos cotes :
☆              Stérile
★              Optionnel
★★          Convaincant
★★★       Remarquable
★★★★   Impératif

Préface des 10e Magritte du Cinéma par… Kody !

Préface des 10e Magritte du Cinéma par… Kody ! 2560 1845 Jean-Philippe Thiriart

Nous avons rencontré Kody cette semaine à Bruxelles pour une très sympathique interview.
Il a préfacé pour vous la 10ème édition des Magritte du Cinéma, qu’il présentera ce samedi 1er février à partir de 20h au Square. Une cérémonie retransmise en direct sur La Deux.
Notez que nous serons présents ce soir aux Magritte avec nos photographe et cameraman.

Kody nous parle aussi des films bientôt à l’affiche dans lesquels il joue :  » Lucky « ,  » Losers Revolution  » et  » Music Hole « .
Et va jusqu’à nous jouer une petite partie de son prochain one-man-show !

Bon visionnage et excellents 10ème Magritte du Cinéma !

Jean-Philippe Thiriart

Crédits photo et vidéo : Diamant I.

Bilan après 10 ans de Cérémonies des Magritte du Cinéma

Bilan après 10 ans de Cérémonies des Magritte du Cinéma 320 180 Jean-Philippe Thiriart

Youri Volckaert dresse un bilan après 10 années de Magritte du Cinéma.
C’est en effet ce 1er février 2020 que les Magritte fêtent leur 10ème anniversaire !

Un bilan que Youri nous invite à dresser avec En Cinémascope.
Il donne également la parole à Eric Franssen, le directeur de Wallonie-Bruxelles Images.

Spécialiste de la saga  » Fallout « , Youri gère la chaîne YouTube Quendigoldo, dédiée au jeu de rôle post-apocalyptique fantastique notamment.

La 10ème Cérémonie des Magritte du Cinéma, c’est ce samedi 1er février 2020 à 20h, en direct sur La Deux !

Jean-Philippe Thiriart

Bilan après 10 ans de Magritte du Cinéma

Palmarès des Machins 2020

Palmarès des Machins 2020 959 640 Jean-Philippe Thiriart
Bérengère Mc Neese – une des deux Miss Machins -, Anne Coesens et son réalisateur de mari Olivier Masset-Depasse

La bande des joyeux organisateurs 9e Machins, les petits prix du cinéma belge, ont décerné leurs moules tant convoitées vendredi dernier au QUAY 01. Les Machins ? C’est frais… c’est décalé !

  • Machin de la Crise d’Ado : Fantine Harduin dans Adoration
  • Machin de la Mobilité douce : La bicyclette dans Emma Peeters
  • Machin de la Cascade (hors champ s’il vous plaît !) : Le Jeune Ahmed de Jean-Pierre et Luc Dardenne
  • Machin Brico Plan-it (si si !) : Escapada de Sarah Hirtt, et
  • l’immanquable Love Machin du roulage de pelle : la pelle dans Sous le cartilage les côtes.

L’année prochaine, c’est dix ans !

On s’y voit ?

Jean-Philippe Thiriart

Sortie Blu-ray de BLADE RUNNER 2049 : un must

Sortie Blu-ray de BLADE RUNNER 2049 : un must 500 250 Jean-Philippe Thiriart

Retour vers le futuristique Blade Runner

Synopsis
Los Angeles, 2019. La colonisation de l’espace a débuté. La Tyrell Corporation produit des esclaves androïdes dont les capacités surpassent celles de leurs concepteurs. Nommés replicants, ces androïdes sont déclarés hors-la-loi après une mutinerie loin de notre planète. Rick Deckard (Harrison Ford), un blade runner, est recruté afin de les éliminer.


Blade Runner
est l’adaptation du roman Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? de Philip K. Dick (1966). Œuvre culte, ce grand film d’anticipation – ou hard SF – fait partie de ces désormais classiques qui ont donné ses lettres de noblesse à la science-fiction sur grand écran. Dans la foulée de Star Wars et du Alien que Scott venait de signer. De ces œuvres d’art qui ont inspiré plusieurs générations de cinéastes. Par les beautés visuelle et sonore (la BO signée Vangelis) qu’il nous donne à contempler, les questions qu’il pose en ayant l’intelligence de ne pas y répondre, et les enjeux auxquels il nous confronte.


À l’issue du tournage de Blade Runner, Ridley Scott perd le contrôle artistique de son film, ce que d’aucuns pointeront comme la cause de son échec commercial à sa sortie en 1982. Il aura fallu pas moins de 25 ans et sept versions différentes de Blade Runner pour avoir enfin devant les yeux le director’s cut ultime de l’œuvre du cinéaste britannique. Signalons qu’il s’agit du premier film à bénéficier d’un director’s cut. C’était en 1992, soit dix ans après la sortie du métrage en salles. En 2007, allait néanmoins sortir un second director’s cut, réellement fidèle à la vision de Ridley Scott cette fois. La boucle était bouclée.


Regard sur Blade Runner 2049

Synopsis
Los Angeles, 2049. La société est fragilisée par les nombreuses tensions entre les humains et leurs esclaves créés par bioingénierie. Lorsque l’officier K (Ryan Gosling), un blade runner, découvre un secret enfoui depuis longtemps et capable de changer le monde, les plus hautes instances décident que c’est à son tour d’être traqué et éliminé. Son seul espoir est de retrouver Rick Deckard, qui a disparu depuis des décennies.


Une suite fidèle à l’œuvre originale

Le 7e Art se devait de donner une suite à Blade Runner.
Il aura fallu attendre 35 ans et un réalisateur de la trempe de Denis Villeneuve pour que la magie opère. Mission casse-gueule vu la qualité de l’original et les attentes générées mais mission accomplie, sur toute la ligne.

Le Canadien signe ici son dixième long métrage en vingt ans et le cinquième en cinq ans, depuis son arrivée à Hollywood avec le thriller poignant Prisoners en 2013. Nous l’avions découvert en 2010 avec Incendies, drame bouleversant porté par la Belge Lubna Azabal, pour lequel il nous avait accordé une agréable interview.
Le Canadien sait tout faire, navigant avec brio de la romance (Un 32 août sur Terre) à la science-fiction (Premier Contact et à présent Blade Runner 2049) en passant par le drame (Incendies donc, mais aussi Maelström), le thriller (Prisoners, certes, mais également Enemy) et le film policier (Sicario).


Pour la première fois, Denis Villeneuve a dû composer avec l’univers d’un autre grand faiseur d’images. Pour parvenir à extérioriser son propre univers intérieur. Son Blade Runner est très référencé et fidèle à l’œuvre originale d’un point de vue tant visuel (la photo est signée Roger Deakins, déjà actif sur Prisoners et Sicario), sonore, que musical (Hans Zimmer à la BO). Mais il porte aussi sa patte.


Cette superproduction est longue – 2h43 – mais elle est surtout captivante, de bout en bout. Et en prise avec la plus actuelle que jamais question de ce qui fait de nous ce que nous sommes, de ce qui nous différencie de ce que nous créons.
L’écriture du film fut collective et nous la devons notamment à Ridley Scott lui-même mais aussi à Hampton Fancher, le scénariste du premier Blade Runner, un gage de plus de la qualité de ce Blade Runner 2049.


Le Blu-ray 4K Ultra HD et ses bonus

4 fois la résolution du format HD, une High Dynamic Range offrant brillants contrastes et noirs plus profonds pour l’expérience visuelle la plus dynamique possible, un large spectre de couleurs et un son immersif.
Voilà la promesse faite avec ce Blu-ray Ultra HD de Blade Runner 2049. Nous n’avons pas été déçus et recommandons par conséquent chaudement le visionnage de Blade Runner 2049 dans ces conditions idéales.


Les bonus

Rayon bonus, le coffret Blu-ray – Blu-ray 4K Ultra HD nous régale de pas mal de bonus, à savoir :
– un making of d’une vingtaine de minutes sur la création du monde de Blade Runner 2049,
– trois courts-métrages qui font figure d’autant de prologues à l’histoire telle qu’elle se déroule en 2049 : l’impressionnante animation 2022: Blackout de Shinichiro Watanabe, et les deux fictions que sont 2036: Nexus Dawn et 2048: Nulle part où aller, et
Blade Runner 101, bonus multiple qui présente L’évolution des réplicants, les Blade Runners, la Wallace Corp, un Bienvenue en 2049, le personnage de Joi, singulier et multiple, et Dans les cieux : Spinners, Pilotfish et Barracudas.

Jean-Philippe Thiriart